Menu de ce site

Les pruniers (Prunus)

Page non éditée
Rubriques[Photos] [Présentation] [Classification] [Noms] [Étymologie] [Identification] [Racines] [Tiges] [Feuilles] [Fleurs] [Fruits] [Cycle] [Habitats] [Origine] [Distribution] [Bois] [Utilisations] [Constituants] [Culture] [Statut] [Autres sujets]

[Taxon précédant] [Monde végétal] [Taxon ascendant] [Taxon suivant] [Via Gallica]

Espèce

PhotoPhotos

Pruniers. Dessin. Cliquer pour agrandir l'image.Pruniers. Peches et abricots, planche meyer. Cliquer pour agrandir l'image.

PrésentationPrésentation

GénéralitésGénéralités
Le genre prunus occupent une place très importante, il comprend près de 430 espèces d’arbres et d’arbustes sans compter les hybrides.

Il a donné de précieuses espèces à l’arboriculture fruitière.

Il renferme en effet les fruits à noyaux, patrimoine végétal, ô combien précieux pour l’hémisphère nord.

Parmi ces différentes espèces on retrouve entre autres :

L’amandier (Prunus amygdalus [Linné]), le pêcher (Prunus persica [Tournefort]), le cerisier (Prunus cerasus [Jussieu]) et l’abricotier (Prunus armeniaca [Linné]).

En France, on retrouve cinq espèces de prunus à l’état sauvage :

le prunier des Alpes (Prunus brigantiaca), le prunier domestique (Prunus domestica), le prunier sauvage (Prunus insititia), le (Prunus fruticans) et le prunellier ou épine noire (Prunus spinosa).

Les amandes amères, contenus dans les noyaux de divers prunus : abricotier, amandes, pécher, prunier, laurier cerise … sont riches en dérivés cyanogénétiques. Quand on mâche une amande amère, il y a libération d’acide cyanhydrique. Cet acide cyanhydrique va produire un blocage de la respiration cellulaire et l’intoxication.

ClassificationClassification

Règne : plantes (Plantae)Sous-règne : plantes vasculaires (Tracheobionta)
Division : plantes à graines (Spermatophyta)Sous-division :
Classe : plantes à fleurs (Angiospermae)Sous-classe : dicotylédones (Dicotyledonae)
Super-ordre : rosidés (Rosidae)Ordre : rosales (Rosales)
Famille : rosacées (Rosaceae)Sous-famille : amygdalacées (Amygdalaceae)
Genre : pruniers (Prunus [Linné, 1753])Sous-genre :

Noms européensNoms européens

AlbanieAllemagnePflaumenbaumAngleterreplums, cherriesArménie
Pays basqueBiélorussieBrezhonegBulgarie
CatalogneChyprioteCorsuCroatie
DanemarkGaeidhligEspagneEstonie
FøroysktFinlandetuomet, kirsikatFrançaispruniersFrysk
GalicePays de GallesGéorgieGrèce
HongrieIrlandeIslandeItalie
LettonieLithuanieLëtzebuergëschprommebam, quetschebamMacédoine
MalteMoldovenesteNorvègeOccitan
Pays-BasPologneśliwaPortugalRoumanie
RussieSerbieSlovaquieSlovénie
SuèdeTchéquieslivoňUkraïneEmpire romainPrunus

ÉtymologieOrigine du nom

Étymologie latineÉtymologie latine
Prunum, i, nom : « prune », fruit du prunier.

Prunus, i, « prunier ». Étymologie : emprunt à une langue orientale.

Autres sujetsAutres sujets

Filiation du sujet
Sujets plus détaillés
L'abricotier commun (Prunus armeniaca)
Les cerisiers (Cerasus)
Le merisier à grappes (Padus avium)
Le pêcher (Prunus persica)
Le prunellier (Prunus spinosa)
Le prunier commun (Prunus domestica)
Sujets proches
L'alchémille vulgaire (Alchemilla vulgaris)
L'amandier commun (Amygdalus communis)
L'aubépine à deux styles (Crataegus oxyacantha)
L'aubépine monogyne (Crataegus monogyna)
L'églantier commun (Rosa canina)
Le fraisier des bois (Fragaria vesca)
Le framboisier (Rubus idaeus)
Le poirier commun (Pyrus communis)
Le pommier domestique (Malus sativa)
Le pommier sauvage (Pyrus malus)
La potentille printanière (Potentilla verna)
La potentille rampante (Potentilla repans)
Les pruniers (Prunus)
La reine des près (Filipendula ulmaria)
La ronce des bois (Rubus fruticosus)
La sanguisorbe officinale (Sanguisorba officinalis)
Les sorbiers (Sorbus)
Sujets plus larges
Monde végétal
Les acéracées (Aceraceae)
Les apiacées (Apiaceae)
Les aquifoliacées (Aquifoliaceae)
Les araliacées (Araliaceae)
Les balsaminacées (Balsaminaceae)
Les buxacées (Buxaceae)
Les celastracées (Celastraceae)
Les cornacées (Cornaceae)
Les crassulacées (Crassulaceae)
Les euphorbiacées (Euphorbiaceae)
Les géraniacées (Geraniaceae)
Les grossulariacées (Grossulariaceae)
Les hippocastanacées (Hippocastanaceae)
Les juglandacées (Juglandaceae)
Les loranthacées (Loranthaceae)
Les onagracées (Onagraceae)
Les oxalidacées (Oxalidaceae)
Les papilionacées (Papilionaceae)
Les rhamnacées (Rhamnaceae)
Les rosacées (Rosaceae)
Les saxifragales (Saxifragales)
Les thyméléacées (Thymelaeaceae)
Les vitacées (Vitaceae)
Naviguer sur ce Site
Taxon précédant ] [ Taxon ascendant ] [ Taxon suivant ] [Page d’accueil] [Monde végétal] [Via Gallica]
Chercher sur ce Site
Chercher sur la Toile
Recommander cette page
Recommander ce site
Traduire cette page
AlbanieAllemagneAngleterreArméniePays basqueBiélorussieBulgarieCatalogneCroatieDanemarkEspagneEstonieFinlandeFranceGalicePays de GallesGéorgieGrèceHongrieIrlandeIslandeItalieEmpire romainLettonieLithuanieMacédoineMalteNorvègePays-BasPolognePortugalRoumanieRussieSerbieSlovaquieSlovénieSuèdeTchéquieUkraïne
Si vous avez atteint ce cadre directement, cliquez sur ce lien pour faire apparaître les menus.