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L’île de Fuerteventura aux Canaries

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PrésentationPrésentation

Présentation généralePrésentation générale
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Écusson (auteur Jerbez). Cliquer pour agrandir l'image.Fuerteventura est l’une des sept îles de l’archipel canarien, située dans l’Océan Atlantique à 97 km de la côte nord-ouest de l’Afrique. L’île compte environ 100 000 habitants et, compte tenu de sa superficie importante, 1 659 km², elle est l’île la moins densément peuplée des cinq grandes îles des Canaries : moins de 50 habitants par km². À Fuerteventura les chèvres sont plus nombreuses que les humains.

La ville capitale de l’île est Puerto del Rosario dont la population, 30 000 habitants, représente près d’un tiers de la population de l’île.

L’île de Fuerteventura vit principalement du tourisme.

ÉtymologieÉtymologie et toponymie
Fuerteventura était autrefois nommée en français « Fortaventure », nom que le conquérant normand Jean de Béthencourt donna à l’île.

Le nom indigène de l’île, avant sa conquête au XVe siècle, était Erbane avec ses deux royaumes « Jandía » et « Maxorata ».

Les habitants de Fuerteventura se nomment « majoreros », ou, dans une forme archaïque, « mahoreros », nom qui était autrefois celui donné aux aborigènes de l’île, du nom de leurs habitations semi-enterrées nommées « maho ».

SituationSituation

L'île de Fuerteventura aux Canaries. Carte routière de l'île de Fuerteventura (auteur Office de Tourisme des Canaries). Cliquer pour agrandir l'image.Fuerteventura est une île de l’archipel des îles Canaries située entre Lanzarote, au nord-est, et Grande Canarie, au sud-ouest. C’est l’île de l’archipel la plus proche du continent africain : elle n’est distante que de 92 km du cap Juby, à l’extrême sud marocain.

L'île de Fuerteventura aux Canaries. Photo satellitaire (auteur NASA). Cliquer pour agrandir l'image.Fuerteventura est séparée de Lanzarote par le détroit de la Bocaina, large d’une dizaine de kilomètres et de moins de 40 m de profondeur.

VisitesVisites

ÎleL’île de Fuerteventura
L’île de Fuerteventura est une île aux paysages dénudés, parsemés de volcans éteints et de moulins à vents, et au littoral jalonné d’immenses plages de sable blanc. À l’intérieur de l’île les troupeaux de chèvres paissent sur des étendues désertiques ; sur les côtes, les vacanciers profitent des vents constants pour se livrer aux sports aquatiques.

Avec une automobile on peut visiter Fuerteventura en trois jours : un jour pour le nord de l’île, un deuxième pour le centre et le dernier pour le sud.

Navigateur par satelliteVisite du nord de Fuerteventura
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Carte touristique de l'île de Fuerteventura (auteur Office de Tourisme des Canaries). Cliquer pour agrandir l'image.Prendre la route FV-20 depuis Puerto del Rosario et se diriger vers Casillas del Ángel, un village agricole qui s’étend le long de la route principale ; on y visitera l’église Sainte-Anne. Peu après Casillas del Ángel, bifurquer à droite sur la route FV-30, puis, 5 km plus loin, sur la route FV-207 en direction de Tefía ; un kilomètre avant ce village on trouve l’un des meilleurs musées créés par le Cabildo de Fuerteventura : le musée ethnographique de La Alcogida, aux maisons typiques, entièrement restaurées, où l’on peut voir des artisans à l’œuvre et acheter des objets d’artisanat.

En continuant vers le nord on rejoint la route FV-10, qui atteint bientôt Tindaya. Le hameau est peu intéressant, mais la montagne de Tindaya recèle des gravures rupestres aborigènes ; c’était une montagne sacrée pour les premiers habitants de l’île. Non loin au nord de Tindaya se trouve l’ancienne capitale de l’île, La Oliva ; on y trouve quelques monuments intéressants, comme l’église Notre-Dame de la Chandeleur et la Maison des Colonels.

De La Oliva, on peut faire une incursion jusqu’à El Cotillo en continuant sur la route FV-10 ; El Cotillo est un village côtier charmant, avec des rues étroites, une tour de guet, la tour du Tostón, et de bons restaurants de poissons. De retour vers La Oliva, on emprunte la route FV-101 jusqu’à Villaverde, un village agricole assez pittoresque où l’on peut acheter des denrées alimentaires typiquement canariennes ; on peut également y visiter la Cueva del Llano, une galerie volcanique de plus de 600 m de longueur.

Après Villaverde continuer sur la route FV-101 jusqu’à la station balnéaire de Corralejo ; depuis le port de Corralejo on peut prendre un bateau pour se rendre sur l’île de Lobos, une île volcanique protégée par un Parc Naturel. Au retour de l’île, rejoindre la route FV-1 en direction du sud ; la route traverse le Parc Naturel de Corralejo, une zone de dunes impressionnantes, puis rejoint la capitale.

Navigateur par satelliteVisite du centre de Fuerteventura
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Carte touristique. Cliquer pour agrandir l'image.Quitter Puerto del Rosario par la sortie sud en empruntant la route côtière FV-2, en direction de l’aéroport et de Caleta de Fuste ; cette station balnéaire abrite une tour du XVIIIe siècle, la tour Saint-Bonaventure. Un peu après Caleta se trouve Las Salinas del Carmen, où l’on peut visiter les marais salants. Un peu plus au sud, en quittant la route FV-2 pour emprunter la petite route FV-420, on peut faire une incursion à Pozo Negro, un hameau de pêcheurs d’un certain charme ; tout près se trouve un village aborigène de La Atalayita.

Retourner sur la route FV-2, puis bifurquer à droite sur la route FV-50 en direction d’Antigua où l’on peut visiter l’église Notre-Dame et le musée ethnographique du Moulin d’Antigua et son jardin de cactus.

Après Antigua prendre la route FV-20 en direction de La Ampuyenta, un village minuscule qui abrite le musée du docteur Mena et la belle chapelle San Pedro de Alcántara. Continuant vers le nord sur la route FV-20, puis bifurquer à gauche sur la route FV-30 qui se dirige vers le sud-ouest en direction de Betancuria. La route traverse le village de Llanos de la Concepción, célèbre pour ses moulins à vent.

En continuant en direction du sud, on passe à Valle de Santa Inés avec son Ermita de Santa Inés, avant d’arriver au joyau de l’île de Fuerteventura, Betancuria. Betancuria est une ville pittoresque qui fut la première capitale de l’île et qui conserve d’intéressants monuments comme l’église Sainte-Marie, les ruines du monastère Saint-Bonaventure, l’ermitage Saint-Diègue d’Alcalá ou le musée archéologique.

La route FV-30 continue vers le sud, en direction de La Vega de Río Palmas, où l’église Notre-Dame du Rocher conserve l’effigie de la sainte patronne de Fuerteventura, la Virgen de la Peña.

L’étape suivante conduit à Pájara, avec l’intéressante église Notre-Dame de Regla ; après Pájara quitter la route FV-30 pour faire une incursion sur la route FV-621 en direction du Monument Naturel d’Ajuy où l’on peut voir des grottes impressionnantes et les roches les plus anciennes de l’île.

D’Ajuy retourner vers Pájara pour se diriger vers Tuineje, un bourg agricole aux curieuses maisons de style mauresque. Continuer vers le sud sur la route FV-20 jusqu’à retrouver la route FV-2, qui permet de retourner à la capitale.

Navigateur par satelliteVisite du sud de Fuerteventura
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Carte touristique. Cliquer pour agrandir l'image.Depuis Puerto del Rosario aller directement à Morro del Jable en empruntant vers le sud la route FV-2 qui se termine au port de Morro del Jable. Après le port on continue jusqu’à un chemin de terre ; cette piste mène d’abord à la pointe ouest de la presqu’île de Jandía,  au curieux village de Puertito de la Cruz, où l’on pourra déguster un ragoût de poisson. En repartant en direction de Morro del Jable, faire un aller-retour jusqu’à Cofete en prenant, à gauche une piste qui conduit jusqu’à la côte nord de la presqu’île et à la plage de Cofete célèbre pour ses couchers de soleil.

Emprunter la même piste pour retourner à Morro del Jable et continuer vers le nord sur la FV-2 jusqu’à la Playa de Sotavento, un site idéal pour la planche à voile et où se déroulent des championnats du monde de planche à voile ; depuis la FV-2 une petite route y mène. Reprendre vers le nord sur la route FV2, en passant au large de la station balnéaire de Costa Calma.

Peu après Costa Calma, quitter la FV-2 pour bifurquer vers l’ouest sur la route FV-605 en direction de La Pared et s’arrêter pour admirer la côte. Continuer sur la FV-605, puis tourner à droite sur la FV-618 pour admirer le Monument Naturel de la montagne de Cardón. Continuer sur la FV-618 pour rejoindre la route côtière FV-2. Quelques kilomètres plus loin, bifurquer à droite sur la FV-4 en direction de Gran Tarajal ; avant d’entrer dans Gran Tarajal, prendre à gauche sur la petite route FV-512 jusqu’au village de pêcheurs de Las Playitas et continuer jusqu’au phare de La Entallada.

Revenir sur la FV-2 et retourner à la capitale.

CultureHistoire, géographie, arts, traditions, flore …

GéologieGéologie
Géologiquement, Fuerteventura est la plus vieille île des îles Canaries. Sa formation débuta il y a 20 millions d’années par des éruptions volcaniques. Cependant la majorité de l’île se forma il y a 5 millions d’années. L’activité volcanique cessa il y a 4 000 ou 5 000 ans, et l’érosion fit son travail. Le point le plus élevé, le mont Jandía au sud-ouest, culmine à 807 mètres d’altitude.
GéographieGéographie
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Photo satellitaire. Cliquer pour agrandir l'image.Avec une étendue de 1 658 km², Fuerteventura est la deuxième plus grande île de l’archipel des Canaries après Ténériffe ; sa longueur, de Corralejo au nord jusqu’à la pointe de Jandía au sud-ouest, est d’environ 100 km ; sa largeur ne dépasse pas 30 km, avec un minimum de 5 km dans l’isthme de La Pared qui relie l’étroite presqu’île de Jandía de l’île principale. C’est sur cette presqu’île que se trouve le point culminant de Fuerteventura, le Pico de la Zarza (« le pic de la ronce »), dont le sommet est à 807 m d’altitude.

L'île de Fuerteventura aux Canaries. Géographie (auteur Norbert Nagel). Cliquer pour agrandir l'image.Le périmètre de l’île est de 320 km, dont 52 km sont des plages de sable blanc ou doré. La côte est possède des plages calmes et venteuses propices à la pratique de la planche à voile. La côte ouest de l’île est plus escarpée et fouettée par les vents d’ouest qui rendent la baignade et les sports aquatiques moins agréables.

L’île a deux zones très différentes :

  • la Maxorata, qui est la région la plus grande et où habite la plus grande partie de la population ;
  • la presqu’île de Jandía : c’est une région avec plus de sable et très sèche.
HistoireHistoire
Les premiers habitants de Fuerteventura, les Majoreros, sont probablement venus de l’Afrique du Nord vers le Ier millénaire avant JC, car leur langue était très proche de celle des Berbères. Ces Mahoreros vivaient de la pêche, de la récolte des coquillages et de l’élevage de chèvres, qui fournissait la viande et le lait avec lequel ils faisaient du fromage. L’île était alors divisée en deux royaumes : Maxorata au nord et Jandía au sud.

Cependant Fuerteventura était connue d’autres peuples : les Phéniciens y arrivèrent probablement vers le XIe siècle avant JC tout comme le Carthaginois Hannon le Navigateur durant son voyage jusqu’au Golfe de Guinée vers 570 avant JC. Le roi Juba II de Numidie en fit une description au Ier siècle avant JC dont Pline l’Ancien s’est servi. L’île a été visitée par des Grecs et des Romains qui la nommaient Planaria, Herbania, et cetera.

Au XIVe siècle, des Génois, Florentins, Vénitiens, Espagnols, Catalans, Majorquins, Andalous, Basques et Portugais abordent l’île.

En 1339, apparaît pour la première fois le nom de Forte Ventura dans une carte du cartographe majorquin Angelino Dulcert.

En 1342, une expédition majorquine débarque sur l’île.

En 1404, les Normands Jean de Béthencourt et Gadifer de La Salle firent la conquête de l’île. Les rois des deux royaumes de l’île, Guize et Ayose, furent baptisés et prirent les noms de Louis (Luís) et Alphonse (Alfonso).

En 1424, les seigneurs normands firent allégeance à la couronne de Castille et l’île devint espagnole.

Vers 1450, l’île compte environ 1 200 habitants européens, concentrés autour de la capitale Betancuria.

En 1476, l’île constitue juridiquement la seigneurie territoriale de Fuerteventura.

En 1593, le pirate barbaresque Arráez occupa l’île pendant six mois, et brûla la capitale et ses archives avant de se retirer.

Au début du XVIIe siècle, la Seigneurie de Fuerteventura est la possession de la maison Arias y Saavedra.

En 1740, des corsaires anglais tentèrent de prendre Fuerteventura, mais après deux batailles qui se soldèrent par des échecs, ils furent obligés de se retirer.

En 1836, la loi féodale exercée par les seigneurs (señores) fut abolie par les Cortes de Cádiz.

ÉconomieÉconomie
L’île de Fuerteventura a toujours été une île pauvre – malgré un sol volcanique fertile – principalement en raison du manque d’eau pluviale. Cependant l’île fut dans le passé moins aride qu’aujourd’hui, elle fut même le grenier à blé des Canaries, ce dont témoignent les nombreux moulins à vent qui parsèment le paysage. Mais une mauvaise gestion des terres et un surpâturage par les chèvres ont abouti aux paysages dénudés que l’on voit aujourd’hui. À certaines époques, notamment aux XVIIIe et XIXe siècles, des sécheresses exceptionnelles ont même provoqué des famines terribles qui ont causé l’émigration d’une grande partie de la population vers les autres îles des Canaries et vers l’Amérique latine. À la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle l’île connut une certaine prospérité avec l’exportation de la salicorne, de l’orseille, de la cochenille, et de la chaux vive, dont on peut encore voir les nombreux fours à chaux qui servirent à la produire.

L’agriculture se limite à la culture de céréales (blé, orge, maïs), de fourrage (luzerne) et de légumes (tomate, oignon, ail, pomme de terre). L’élevage se limite aux troupeaux de chèvres qui vagabondent librement dans les espaces dénudés ; l’île produit un fromage de chèvre nommé « queso majorero ». La pêche est plus favorisée, avec la présence d’une fosse maritime très poissonneuse située entre Fuerteventura et la côte marocaine, mais il n’y a pas de véritable industrie de la pêche.

Depuis les années 1970 l’économie de l’île est évidemment basée sur le tourisme, grâce à son climat agréable et à ses nombreuses plages de sable fin et doré ou de galets – qui seraient au nombre de 152 … – où ont été construites des installations hôtelières ou des résidences de vacances.

MusiqueMusiques de Fuerteventura
Berlina majorera
Folias antiguas
Isa majorera
Malagueña tres tiempos
Polca majorera
Seguillas majoreras
Siote majorero
Sorondongo majorero

Informations pratiquesInformations pratiques

Office de tourismeOffice de tourisme
Office de Tourisme de l’aéroport :

Ouvert du lundi au dimanche, de 8 h à 21 h.

Téléphone : 00 34 928 860 604

Site sur la Toile : visitfuerteventura.es

Décalage horaireDécalage horaire
Voir à la page Informations touristiques sur les Canaries.
FormalitésFormalités
Voir à la page Informations touristiques sur les Canaries.
MonnaieMonnaie
Voir à la page Informations touristiques sur les Canaries.
ÉlectricitéÉlectricité
Voir à la page Informations touristiques sur les Canaries.
TéléphoneTéléphone
Voir à la page Informations touristiques sur les Canaries.
Informations administrativesInformations administratives
Fuerteventura fait partie de la province canarienne de Las Palmas qui regroupe les îles de Grande Canarie, Fuerteventura et Lanzarote. La capitale de Fuerteventura est Puerto del Rosario.

C’est l’île de l’archipel des Canaries ayant le moins d’habitants. Fuerteventura compte 70 000 habitants et Puerto del Rosario concentre la plupart d’entre eux, avec 30 000 habitants.

L’île de Fuerteventura est divisée en six municipalités qui sont : Antigua, Betancuria, La Oliva, Pájara, Puerto del Rosario (capitale) et Tuineje.

ClimatClimat
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Vent de sable (calima). Cliquer pour agrandir l'image.Fuerteventura a un climat très agréable, mais très sec. La température moyenne la plus basse en hiver est de 15 °C et la plus élevée est de 21 °C. Pour l’été, la température moyenne la plus basse est de 20 °C et la plus haute d’environ 30 °C. La température moyenne annuelle est de 22 °C. Ces températures douces sont dues au sirocco, le vent de levante, vent très chaud venu du Sahara. La température de l’eau de mer est comprise entre 19 et 21 °C.

L'île de Fuerteventura aux Canaries. Climat. Cliquer pour agrandir l'image.L’ensoleillement est de 2 800 heures par an. Avec moins de 1 000 m d’altitude, les crêtes de Fuerteventura ne peuvent pas retenir les nuages des alizés, et les précipitations annuelles sont faibles : en moyenne 147 mm, la majorité des averses étant en hiver. Fuerteventura est une île très sèche, avec très peu de végétation et très peu d’eau.

De plus, à n’importe quel moment de l’année, peut survenir le phénomène du calima. Pendant celui-ci, les grains de sable apportés par le sirocco font baisser la visibilité à 200 m ou moins et causent une hausse brutale des températures, de plus de 10 degrés. Ce sable, soufflé par dessus la mer, a formé un isthme, Istmo de la Pared, situé entre les îles autrefois séparées de Maxorata et Jandía.

Ces vents réguliers et modérés font de Fuerteventura un lieu idéal pour la pratique des sports aquatiques : voile, planche à voile et kite-surf.

MétéorologieMétéo
La météo à Fuerteventura en ce moment
AvionsTransports aériens
L'île de Fuerteventura aux Canaries. Aéroport. Cliquer pour agrandir l'image.L’aéroport international, El Matorral, est situé à 4 km au sud de la capitale, Puerto del Rosario. La compagnie aérienne régionale, Binter (www.bintercanarias.com) assure des liaisons vers les autres îles de Macaronésie : La Gomera, El Hierro, La Palma, Lanzarote, Grande Canarie, Tenerife et FunchalMadère), ainsi que vers l’Afrique du Nord-Ouest.

Horaire : du lundi au dimanche, de 7 h à 22 h.

Téléphone de l’aéroport : 00 34 902 404 704

Site sur la Toile : www.aena.es

Des lignes d’autobus font halte à l’aéroport :

la ligne numéro 3 qui relie Las Salinas - Caleta de Fuste à Puerto del Rosario circule toutes les demi-heures, de 6 h 30 à 0 h 30 ;

la ligne numéro 10 qui relie Morro del Jable à Puerto del Rosario circule 4 fois par jour ;

la ligne numéro 16 qui relie Gran Tarajal à Puerto del Rosario circule 4 fois par jour.

Horaires et tarifs détaillés sur le site : www.tiadhe.com/es/rutas.htm

Les trajets en taxi coûtent environ 1,20 € par kilomètre.

TransbordeurTransports maritimes
Fuerteventura est très bien reliée aux autres îles depuis les ports de Puerto del Rosario, Morro del Jable et Corralejo. Des liaisons existent avec les villes de Santa Cruz de Tenerife à Ténériffe (12 h de traversée) depuis Morro del Jable ; cinq fois par jour à Playa Blanca à Lanzarote depuis Corralejo ; Arrecife à Lanzarote depuis Puerto del Rosario ; Las Palmas de Gran Canaria à Grande Canarie (7 h de traversée) depuis Puerto del Rosario et Morro del Jable ; Santa Cruz de La Palma à La Palma.

Horaires et tarifs sur les sites des compagnies de navigation Fred Olsen Express (www.fredolsen.es) et Naviera Armas (www.navieraarmas.com).

AutocarAutocar
Il existe des bus fréquents entre l’aéroport et les principales stations balnéaires, mais il est plus difficile de se déplacer en bus pour visiter l’intérieur de l’île, car les bus sont alors davantage destinés aux habitants des villages qu’aux touristes et se limitent à un bus très tôt le matin avec retour en fin de matinée.

Horaires des bus : www.tiadhe.com/es/

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