Il y a peu de données disponibles sur les vertus médicinales de l’ajonc.
Utilisations économiques
Souvent cultivée comme plante fourragère. Le premier usage de l’Ajonc découle de ses qualités alimentaires pour le bétail. Ce fourrage d’hiver, apparemment impropre à la consommation animale, est, après broyage pour lui casser ses épines, très apprécié des bovins et des chevaux qui le préfèrent au foin. On le nommait « luzerne des pays pauvres ».
Il était utilisé également comme bois de chauffage pour des fours réclamant de hautes températures.
Les fleurs de l’Ajonc illuminent de leur jaune d’or les landes vers l’équinoxe de printemps, (à la fin du mois du Frêne). Les landes, aux horizons incertains, sont un lieu proche du ciel. Les générations successives de bergers, vivant dans cette uniformité sournoise, lui ont façonné un cortège de croyances équivalent à celui des forêts profondes.
Religions
La déesse gauloise On-niona, dont le culte était célébré dans des bosquets de Frênes, a son nom formé à partir de Onn (Ajonc) et Nion (Frêne).