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Les lichens

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Espèce

PhotosPhotos

Lichens. Cliquer pour agrandir l'image.Lichens.Lichens. Cliquer pour agrandir l'image.Lichens.

ClassificationClassification

Règne : fonges (Fungi)Sous-règne : lichens

ÉtymologieOrigine du nom

Étymologie latineÉtymologie latine
Le terme de « lichen » a une origine grecque et on le trouve pour la première fois dans des écrits de Théophraste (au Ive siècle avant notre ère) pour désigner des « plantes » croissant sur des troncs d’arbre.

Certains champignons associés à des algues forment une chimère biologique nommée LICHEN qui vient de :

LILIGI en sumérien, vers -3.500, qui voulait dire champignon fils de Dieu.

EUL en Chinois en -2.000 qui voulait dire champignon divin, car probablement hallucinogène. EUL est la transcription en chinois du nom du Dieu Hel sumérien datant de -4.000.

LINJE encore en Chinois en -2.000 qui voulait dire « champignon sphérique » autrement dit « Vesse de Loup » ou Lycoperdon. On ignore s’il est apparenté à

LEIKHEIN en grec ancien qui voulait dire lécher, peut-être parce que les chèvres et les moutons les léchaient pour goûter leur saveur acidulée.

LICHEN en Français contemporain en est probablement dérivé. On sait que cette association algue-champignon est broutée par les Rennes dans le grand Nord.

LING CHIH, en Chinois actuel veut dire champignon.

IdentificationIdentification

Identification généraleGénéralités
Ils sont présents presque partout autour de nous et pourtant on les remarque à peine tant ils sont discrets. On en connaît à ce jour plus de 20 000 espèces dans le Monde. Adoptant des formes variées, formé d’un thalle aplati ou rameux, et de multiples couleurs (vert, brun, bleuté, gris, jaune, orangé vif, etc.), les lichens investissent de très nombreux types de support : les écorces d’arbres, la terre, le sable, les rochers, les murs en ciment, les tuiles et même le cuir ou les os …

La grande originalité du lichen, c’est qu’il est constitué par l’association de deux organismes : une algue et un champignon. Le champignon procure l’habitat dans lequel s’installe l’algue : le champignon forme une enveloppe protectrice autour de l’algue, limitant les risques d’assèchement ou d’éclairement trop brutal. Par ailleurs, il est un efficace rabatteur d’eau, des sels minéraux, de vitamine C et de substances glucidiques, provenant du substrat. L’algue, de son côté, assure la photosynthèse, donc la nourriture, en fournissant au champignon les hydrates de carbones et les substances azotées dont il a besoin pour vivre. Ils vivent en symbiose, chacun profitant de l’autre.

Finalement, les lichens ne ressemblent ni à l’algue ni au champignon qui les compose. Ils ont une apparence propre, très variable selon les espèces.

Considérés comme les pionniers de la végétation, les lichens sont, eux aussi, étonnamment robustes. Ils peuvent présenter des contours irréguliers, se teinter de vert, gris, orangé ou noir, comme ceux que l’on trouve sur les rochers, mais ils peuvent aussi prendre l’aspect d’une feuille et ils vivent aussi bien dans les dunes maritimes ou les îles volcaniques que sur les vitraux d’une église, dans la toundra arctique et sur les rochers aux abords de la zone des neiges éternelles … Ils se développent plus au nord, plus au sud et plus haut que toutes les plantes connues !

Les lichens forment une classe des thallophytes.

Le plus vieux fossile de lichen date du dévonien (-400 millions d’années).

RemarqueRemarques
Considérée dans le passé comme n’étant ni champignon ni végétal, cette espèce n’était pas reprise dans les anciens ouvrages de mycologie. Elle en fait désormais partie. En effet, elle est la symbiose d’un champignon ascomycète, basidiomycète ou hyphomycète (ascolichen, basidiolichen, hypholichen) et d’une algue unicellulaire ou filamenteuse. Il s’agit donc de trois groupes différents mais semblables dans le mode de vie : le champignon prend en quelque sorte la forme du végétal (ou le contraire … ?!) qu’il abrite et qui lui apporte les produits de la photosynthèse dont il se nourrit.
Clé de déterminationClés de détermination
Peu probable avec les champignons mais possible avec certaines algues et mousses.

ChapeauThalle

Largeur du thalle
De la taille de quelques microns à 3 cm (voire beaucoup plus, selon variété).
Forme du thalle
De forme variable allant de la tige onduleuse (ramifiée ou non) à celle de minuscule pétale, de feuille composée et même d’arbrisseau.

Pied inexistant dans la forme pétaloïde ou dans le prolongement du pseudo-carpophore, soit simple, soit ramifié lorsqu’il a la forme d’un arbrisseau.

Couleur du thalle
Peut prendre toutes les nuances du vert allant du clair à l’intense en passant par le vert-de-gris puis devenant vert-jaunâtre en vieillissant, selon l’âge, la situation géographique, l’exposition ou le degré hygrométrique.

Les couleurs des lichens sont principalement dues aux acides lichéniques qui sont spécifiques des lichens. Ils changent très facilement de couleur et donnent alors la couleur typique jaune, rouge ou brune du thalle ou des parties du thalle.

Surface du thalle
Marge du thalle
Face inférieure
OdeurOdeur
Végétale ou humique, selon l’âge mais le plus souvent discrète, voire absente.

Cycle de vieCycle de vie

Symbiose
Ce n’est qu’en 1867 qu’un botaniste suisse Schwendener, découvre la dualité profonde de ces organismes formé de l’union d’une algue et d’un champignon. Lorsque cette conception fut acceptée, les scientifiques nommèrent cette union symbiose, un terme issu du grec signifiant « vivre ensemble ». Une sorte de mariage au sein duquel chaque partenaire dépend de l’autre pour survivre.

Coupe. Cliquer pour agrandir l'image.Lorsque l’on examine au microscope un lichen foliacé en coupe, on observe des hyphes incolores du champignon en périphérie formant un réseau dense de filaments entrelacés constituant une couche protectrice appelée la zone corticale. Vers l’intérieur on voit encore des hyphes non enchevêtrées, mais entourant de place en place les cellules bleu verdâtre de l’algue. Sous cette couche se trouve la zone médullaire formée exclusivement d’un tissu d’hyphes. en dessous se retrouve une zone corticale qui, en union avec des filaments issus de la zone médullaire forme de fausses racines appelées rhizines.

Les champignons impliqués dans la symbiose lichénique représentent environ 1/5 de l’ensemble des champignons actuellement connus. Seulement 2 % des phytobiontes sont clairement identifiés car les caractères morphologiques et les structures sexuées sont considérablement modifiés par la symbiose. Il s’agit souvent d’algues vertes (chlorophytes). Sur 200 espèces au total, une seule espèce d’algue jaune et rouge existe.

Dans de nombreux cas, l’algue verte participe à la gonidie.

Lorsque le phytobionte est une cyanobactérie, il s’agit d’une bactérie de forme unicellulaire ou filamenteuse, très souvent du genre Nostoc.

  • Dans 8 % des cas on a une algue verte associée à un champignon.
  • Dans 1 % des cas on a une association d’une cyanobactérie et d’un champignon.
  • Dans 5 % des cas les 3 partenaires sont associés.

Il existe une spécificité d’association étroite ou large. La plupart des lichens sont modérément spécifiques. Un même mycobionte peut s’associer à différentes espèces de phycobionte.

Symbiose. Cliquer pour agrandir l'image.Structure hétéromère montrant les hyphes de champignon (filaments blancs) et la couche de gonidies (cellules d’algues vertes).

Reproduction
Au sein de cette union, l’algue est dépossédée de toute sexualité. Seul le champignon qui est le plus souvent un ascomycètes comme les pézizes et les morilles, peut se multiplier par voie sexuée. Les spores qu’il libère le plus souvent au niveau de petites coupes appelées apothécies, emportées par le vent doivent rencontrer ensuite des algues compatibles pour pouvoir germer. Certaines espèces surmontent cette difficulté en libérant, par voie non sexuée, des propagules, petits assemblages de cellules appelées sorédies provenant des deux partenaires. Leur dissémination est produite par le vent, l’eau ou les petits animaux. Les sorédies sont parfois si nombreuses et si serrées que le lichen lui-même est complètement recouvert d’une couche farineuse vert blanchâtre. Certaines espèces se reproduisent uniquement de cette manière.

Pour se reproduire, le lichen peut présenter :

  • des isidies, structures dressées, écailleuses ou spatuliformes, parfois fortement ramifiées à la surface du thalle en petits cylindres constitués d’algues, entourés d’une écorce de filaments mycéliens ; elles se libèrent par rupture et assurent ainsi la dispersion.
  • des sorédies, cellules d’algues individuelles, entourée d’hyphes regroupés dans une soratie en forme de verrue sur le thalle.
Croissance
Les lichénologues mettent en garde contre les récoltes abusives. du fait de leur croissance très lente en moyenne 1 millimètre par an, ce qui prouve une lenteur d’assimilation. Du fait de cette faible croissance certains lichens pourraient disparaître dans des régions où la cueillette est excessive surtout destinée aux décors de maquettes comme les Cladonia.

Quinze à quarante-cinq ans seraient nécessaires pour que, dans la toundra, le tapis de lichens atteigne une hauteur de six centimètres seulement. C’est pourquoi, traditionnellement les éleveurs de rennes pratiquent une rotation des espaces broutés, respectant ainsi le cycle de reconstitution de la végétation. Cette faible croissance s’explique par le fait que l’algue doit assimiler pour tout l’organisme. La photosynthèse est encore freinée par le manque de lumière, puisque les hyphes (filaments) du champignon recouvrent les cellules de l’algue et ne leur laissent pas parvenir la pleine intensité lumineuse.

Dormance
Les lichens savent attendre patiemment le moment propice à leur développement. Leur succès, ils le doivent à une remarquable adaptation aux grandes variations de sécheresse et d’humidité. Quand l’eau vient à manquer, ils cessent leur croissance et entrent en dormance souvent sur de longues périodes. ils savent capter la moindre trace d’humidité et l’absorbe comme du papier buvard. C’est la reviviscence : un lichen s’hydrate, se gonfle comme une éponge jusqu’à pouvoir contenir 30 fois son poids en eau !
Longévité
Certains lichens alpins pourraient être âgés de 1 000 ans et d’autres au Groenland dépasseraient les 4 000 ans. Les lichens crustacés qui croissent régulièrement et ne se détachent jamais du support minéral, ont d’ailleurs permis de dater des moraines (déblais constitués par des pierres et blocs poussés par les glaciers) ou des vestiges archéologies (vieilles tombes ou statues de l’île de Pâques).
CueilletteSaison de fructification
Se développe toute l’année.
Mois123456789101112
Fructification
Champignon mycorhiziqueForme de fructification
Ce champignon-végétal se développe essentiellement en groupes de nombreux individus, recouvrant parfois totalement le support dont il se nourrit par l’intermédiaire de son hôte.

HabitatHabitats

MilieuMilieuxChampignon sur soucheChampignon sur arbreVille
Selon la variété, sur souches, bois morts ou vivants, sols ligneux, débris végétaux, en bois de feuillus comme de conifères, en plaine comme en montagne mais aussi sur rochers en montagne et pierres en plaine.

On les rencontre en abondance dans les régions tropicales, en altitude, accrochés aux branches des arbres sous la forme de longues barbes où ils s’abreuvent de brouillards. On les rencontre en tant qu’épiphyte sur le bois, les écorces, les feuilles d’arbres tropicaux, parfois sur des coléoptères ou des carapaces de tortues géantes des Galapagos. Dans l’eau douce ou salée, ils forment des croûtes noires, incrustées dans les rochers balayés par les vagues. Les constructions humaines leur servent également de domicile. Ils ornent les tuiles des maisons, les vieilles pierres, les murets mais ils peuvent s’installer aussi sur le béton, les carcasses de voiture, les vitraux des cathédrales, les pierres tombales, qu’ils attaquent et dissolvent peu à peu par l’action des acides lichéniques.

SolSols
Pionniers exceptionnels, ils sont capables de pousser sur le sable, les pierres, le sol nu, sur les coulées de lave sitôt refroidies, là où aucun végétal ne prétend s’aventurer. Ils retiennent la poussière qui est amenée par le vent accumulant des éléments constituants un sol.

S’incrustant dans le substrat et libérant des acides, ils désagrègent la roche et la pulvérisent, contribuant ainsi, avec le temps, à la genèse du sol. Ils ouvrent alors la voie à toute une dynamique de colonisation végétale : les mousses, les fougères puis les plantes supérieures.

Certains lichens n’hésitent pas à coloniser des terres polluées par des métaux lourds toxiques. Ils sont capables de résister aux radiations. Ils absorbent et concentrent les polluants métalliques et les éléments radioactifs.

Acarospora sinopica qui vit sur des roches riches en sulfure de fer leur doit sa couleur rouille tandis que Lecidea inops tire son fauve éclatant de sa teneur en cuivre, pouvant dépasser 1 % de son poids sec. Les lichens possèdent de remarquables mécanismes d’autodéfense contre les métaux toxiques. Ainsi, Diploschistes muscorum peut tolérer des concentrations en métaux lourds dix fois supérieures à celles rencontrées normalement dans la nature. Cette espèce produit de l’acide oxalique, des acides lichéniques, des enzymes, des protéines et d’autres molécules qui fixent le zinc, le neutralisent et l’empêchent d’être toxique.

ClimatClimatsClimat ensoleilléClimat ombréClimat pluvieuxClimat humideClimat froid
Les lichens résistent à des conditions extrêmes de températures et de sécheresse.

Les lichens ont la capacité de résister à de très fortes dessiccations. Certains lichens peuvent vivre avec une teneur en eau de 2 %.Ils possèdent la possibilité de se réhydrater. En général les lichens contiennent beaucoup d’eau (100 à 300 % par rapport à la matière sèche du lichen).

La résistance hydrique de ces lichens provient surtout du mycobionte car autour de l’hyphe il y a des polysacaccharides qui piègent l’ eau sous forme colloïdale. De plus ils stockent de polyols. La reprise du métabolisme après une sécheresse est très rapide. Il retrouve ses capacité 5 à 30 minutes après une réhydratation. Ils peuvent également survivre à des variations de température de -70 à +70 °C.

AltitudeAltitudes

Utilisation médicinaleUtilisations

Utilisations culinairesToxiqueNon comestibleComestible
Certaines espèces sont comestibles, telle Cetraria islandica utilisées en boisson sous forme de tisane (lichen de montagne, notamment). D’autres servent à la nourriture des animaux en Arctique (Cladonia rangiferina absorbés par les rennes, notamment) où ils forment des colonies importantes.

Il en existe aussi que l’on considère comme toxiques légers, pouvant provoquer des allergies chez les personnes sensibles.

Économiques
  • Indicateur de pollution
  • Colorant

De nombreuses espèces peuvent fournir des teintures naturelles, connues sous le nom d’orseilles. Celle d’Auvergne qui donnait aux étoffes une coloration rouge ou violette pourpre était tirée de la parelle (Ochrolecchia parella), une croûte blanchâtre qui pousse sur les schistes.

Le tweed écossais, les tapis navajos, les vêtements indiens de fêtes en Alaska …, tous tirent des lichens des camaïeux de verts, bleus, jaunes, rouges ou bruns. Les espèces du genre Roccella fournissent la teinture de tournesol. Une espèce Roccella tinctoria vit le long des côtes dans l’est de l’Inde.

  • Parfum (huiles essentielles, on en récolte jusqu’à 9 000 tonnes par an)

Au temps des Romains, les lichens étaient appréciés dans le domaine de la parfumerie. dans les années cinquante, ils gagnent l’industrie. C’est par milliers de tonnes que celle-ci absorbe de la « mousse d’arbre » (Pseudevernia furfuracea) et de la « mousse de chêne » (Evernia prunastri) venant des Cévennes, d’Aubrac, de Margeride ou d’Europe de l’Est et même de la « mousse de cèdre » importée du Maroc. De l’arbre-support dépendra la « note » que le lichen apporte. cueillie sur le pin sylvestre, la « mousse d’arbre » offre une note boisée. Celle-ci est très recherchée pour les eaux de toilette masculines qui gagnent en chaleur et ténacité, précise le parfumeur Philippe Collet. La « mousse de chêne » transmet une note marine, presque d’algue. elle rend les parfums de femme, riches, capiteux et chauds. Les extraits de lichens sont dits fixateurs de parfums mais ils apportent leurs propres arômes. En s’évaporant plus lentement, ils donnent aux parfums une vie plus longue.

  • Alimentation des rennes
  • Une espèce est consommée au Japon

Constituant chimiqueConstituants chimiques

Les lichens synthétisent des substances originales, appelées acides lichéniques, qui réagissent au contact de certains réactifs chimiques (chlore, potasse, paraphénylène-diamine) en colorant le thalle en rouge, en jaune vif …

On utilise cette particularité, variable selon les espèces, pour déterminer avec précision les espèces rencontrées.

StatutStatut

Rareté
Lichen et qualité de l’air
Les lichens fuient les villes et les zones industrielles. Plus l’air est pollué, moins on est susceptible d’en trouver. Progressivement le nombre d’espèces de lichens diminue jusqu’à ce que seules les espèces les plus tolérantes résistent.

Les lichens sont des bio-indicateurs car ils sont bio-accumulateurs : ils accumulent au sein de leur organisme, jour après jour, le SO2 et autres polluants atmosphériques, ce qui entraîne des modifications anatomiques et physionomiques importantes, jusqu’à la mort de l’individu lichénique.

Grâce à de très nombreux travaux réalisés sur la sensibilité des lichens aux polluants atmosphériques (SO2, fluor, ozone, oxydes d’azote, PAN …), il a été possible d’établir une échelle de corrélation entre qualité de l’air et présence de telles ou telles espèces de lichens (Van Haluwyn et Lerond, 1993). En effet, tous les lichens ne présentent pas la même tolérance vis-à-vis des pollutions atmosphériques. Ainsi, on pourra rencontrer sur l’écorce des arbres, au cœur des agglomérations, quelques thalles de lichens incrustants tandis qu’à la campagne, en forêt, les arbres présentent des « manchons » de lichens fruticuleux et foliacés

Pollution FortePollution MoyennePollution Faible
Lécanore (Lecanora) conizaeoidesParmélie grise (Hypogymnia physodes)Lichen perforé amer (Pertusaria amara)
Lichen double (Diploicia canescens)Parmélie des murailles (Xanthoria parietina)Parmélie manteau (Parmelia caperata)
Évernie du prunellier (Evernia prunastri)Ramaline fastueuse (Ramalina fastigiata)

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