L’argiope rayée a tendu sa toile grossière dans un massif d’Aster, à la fin de l’été, là où s’affairent au soleil des dizaines de « Mouches » floricoles (petits Muscides, petits et moyens Calliphorides et Sarcophagides, gros Tachinides et jolis Syrphides …) ; la coloration aposématique de cette grosse « Epeire » dissuade les oiseaux de la manger mais pas les petits Pompiles chasseurs d’araignées …